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5 facteurs qui poussent à l'obésité

La prise de poids résulte d'une règle toute simple : l'apport calorique dépasse la dépense calorique. Mais pour nos animaux, beaucoup de facteurs entrent en jeu, comme l'âge, la race, l'état de santé... Et parimis eux, un élément qui rend l'équation encore plus complexe : nous.


Le mode de vie

  • Pour les chiens vivant en appartement, tout dépendra de ... nous. Notre chien profitera-t-il de promenades adaptées, tant en quantité qu'en qualité, pour bien se dépenser ?

  • En zone périurbaine ou à la campagne, l'accès à un jardin suffit bien souvent, aux yeux des propriétaires, pour que le chien se défoule. Mais sans nouvelles stimulations, sans un congénère ou encore une partie de jeu avec son humain, le chien n'ira jamais de lui-même faire dix fois le tour du jardin en courant pour " éliminer ".

  • Une vie confortable dans des intérieurs chauffés toute l'année ne fait pas brûler de calories pour lutter contre le froid, or la thermogenèse (production de chaleur par l'organisme) est très gourmande en énergie.

  • Lorsqu'on a plusieurs animaux à la maison, il n'est pas rare que le plus glouton finisse les gamelles de tout le monde.

Le sexe

  • Chez le chien, les femelles sont plus touchées.

L'âge

  • Un animal un peu replet pendant sa croissance aura deux fois plus de risque d'être en surpoids ou obèse à l'âge adulte.

  • 20% des chiens de moins de deux ans sont déjà en surpoids.

  • C'est entre 3 et 8 ans que la maladie " obésité " s'installe.

L'état de santé

  • Les dérèglements hormonaux, comme l'hypothyroïdie, font grossir.

  • Un chien souffrant d'une arthrose précoce (dysplasie de la hanche ou du coude) sera moins enclin à se mouvoir et à se dépenser, donc plus sujet à prendre du poids.

La race

Oui, les études s'accordent à dire qu'il y a des races prédisposées à l'obésité.

  • Labrador, golden retriever, chow-chow, colley, cocker, beagle, teckel, basset hound, terre-neuve, saint-bernard, bouvier bernois, cavalier king Charles, carn et scottish terrier, berger des Shetlands, rottweiler.

  • Si on prend l'exemple des chiens retrievers, ils seraient même cinq fois plus concernés par l'obésité, toutes races de chiens confondues, car ils ont un métabolisme de base moins énergivore que d'autres races. Avec tous les labradors en surpoids que nous croisons, on en vient à penser que c'est le poids idéal.

  • Les chiens croisés seraient aussi plus à risque !


2,22 millions de chiens seraient en surpoids ou obèses ! Soit 30% de la population canine.



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